GEA offers three (“wet”, “semi-dry” and “dry”) Sorptive Processes for Flue Gas Desulphurization (FGD) and for other acidic compounds.
GEA is the right partner, providing customers around the world with complete support for all aspects of emission control to comply with the highest air emission standards.
GEA has several process options available for the secure removal of SOx and other acidic compounds.
Different sorptive processes allow the removal of sulfur oxides (SOx) from flue gases produced from power stations, industrial combustion, chemical manufacturing and mineral ore processing. FGD (Flue Gas Desulphurization) systems are categorized as either “wet”, “semi-dry” or “dry” according to the phase in which the flue gas reactions take place.
GEA offers Emission Control proven solutions utilizing the below mentioned sorption technologies:
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Les absorbeurs-sécheurs par atomisation facilitent l'élimination des polluants acides, métaux lourds et poussières provenant des gaz de combustion et de dégagement dans les centrales électriques à combustible fossile, les incinérateurs de déchets et les installations industrielles.
The dry sorption process removes acid gases like sulfur oxides (SOx) and hydrogen chloride (HCl) through two basic steps. The first step is injection of a dry sorbent into the entrained flow reactor. The second one removes the formed compounds through a downstream particulate matter control device such as a baghouse filter, electrostatic precipit...
For the wet desulphurization of flue gas, a scrubbing liquid is recirculating and injected to the exhaust where SOx is absorbed in the liquid and reacts. Simultaneously, the flue gas is saturated with water vapor. The reagent is fed to the sump of the scrubber unit and intermittent dewatering is used to drain the reaction agent.
Avec le GEA kytero 10, les chercheurs et les développeurs de l'industrie biopharmaceutique, de l'agroalimentaire et des nouveaux aliments disposent d'un accélérateur puissant de dernière génération.
Que diriez-vous si votre chocolat préféré n’avait pas besoin de fèves de cacao et si votre café était produit localement ? Alors que le dérèglement climatique, les hausses de prix et les préoccupations éthiques frappent de plein fouet deux de nos péchés mignons préférés, les chercheurs réimaginent la façon dont nous les produisons en abandonnant la monoculture pour miser sur les microbes. L’objectif est de préserver l’arôme et les propriétés du café et du chocolat tout en minimisant les émissions de carbone et en améliorant la résilience alimentaire.
GEA aide ses clients à tester des produits et des ingrédients alternatifs aux œufs, obtenus par fermentation de précision, et à gérer le passage à l’échelle industrielle.