Machine développée spécifiquement pour les conditionnements format traiteur de pâtes courtes et produits secs granulaires.
La GEA V-Packer KLC a une largeur de film max. de 870 mm et peut être équipée de mâchoires de soudure à barre de chauffe et/ou à impulsions de chaleur, selon le type de film qui est utilisé. Les mâchoires peuvent être conçues pour la production de sachets avec ou sans anse, ce qui assure une haute personnalisation du sachet et une manipulation aisée pour le consommateur final.
Les paramètres de la machine sont gérés électroniquement grâce au panneau couleur de type écran tactile de l’interface opérateur, qui permet d’enregistrer, de régler et d’effectuer des autodiagnostics des paramètres d’exploitation, et aide l’opérateur à identifier facilement les causes possibles en cas d’arrêt de la machine.
La haute qualité des composants (toutes les pièces en contact avec le produit sont en acier inoxydable) réduit nettement l'usure des pièces et, par conséquent, le temps de maintenance.
• le modèle GEA V-Packer KLC-XL qui permet de gérer des bobines de film de jusqu'à 1100 mm ;
• le GEA V-Packer KLC-High Speed, qui est une version spéciale conçue pour les lignes qui ont une capacité de production horaire de pâtes impressionnante et ont, par conséquent, besoin d’une vitesse supérieure.
• GEA V-Packer KLC, vitesse de conditionnement : jusqu'à 20 sachets de 5 kg par minute (sacs coussins) ;
• GEA V-Packer KLC-XL, vitesse de conditionnement : jusqu'à 10 sachets de 10 kg par minute (sacs coussins) ;
• GEA V-Packer KLC-HS, vitesse de conditionnement : jusqu'à 25 sachets de 5 kg par minute (sacs coussins).
Avec le GEA kytero 10, les chercheurs et les développeurs de l'industrie biopharmaceutique, de l'agroalimentaire et des nouveaux aliments disposent d'un accélérateur puissant de dernière génération.
Que diriez-vous si votre chocolat préféré n’avait pas besoin de fèves de cacao et si votre café était produit localement ? Alors que le dérèglement climatique, les hausses de prix et les préoccupations éthiques frappent de plein fouet deux de nos péchés mignons préférés, les chercheurs réimaginent la façon dont nous les produisons en abandonnant la monoculture pour miser sur les microbes. L’objectif est de préserver l’arôme et les propriétés du café et du chocolat tout en minimisant les émissions de carbone et en améliorant la résilience alimentaire.
GEA aide ses clients à tester des produits et des ingrédients alternatifs aux œufs, obtenus par fermentation de précision, et à gérer le passage à l’échelle industrielle.