Comment un robot de traite a changé la vie d'une jeune mère

Quand Michele Schneider a épousé Virlei en 2013, elle n'avait qu'une idée très vague de ce qu'était la vie sur une ferme laitière. Mais quand elle a rencontré Virlei, qui avait lui grandi dans une exploitation laitière, tous deux ont très vite caressé l'idée d’avoir une ferme familiale rien qu'à eux.

« Je peux vraiment dire que j'ai eu le coup de foudre, j'ai une vraie passion pour mes bêtes, pour ce travail extraordinaire, » explique Michele. Constituant leur troupeau de manière avisée, ils sont rapidement arrivés à avoir 25 vaches. Ils savaient aussi, d'une part, qu'il leur fallait encore grandir pour pouvoir vivre confortablement. D'autre part, la charge de travail du couple dans sa petite ferme traditionnelle a considérablement augmenté. Traire le troupeau trois fois par jour leur prenait six heures, auxquelles s'ajoutaient d'autres tâches de l'alimentation à l'entretien de l'équipement, en passant par la gestion du lisier et celle de la santé du troupeau.

Au Brésil, le travail d'astreinte pèse sur les nombreux exploitants, qui sont à la tête de petites fermes laitières. L'industrie laitière du pays, avec plus d’un million de fermes laitières et un cheptel de près de 17 millions de vaches laitières en 2023, est la quatrième au monde L'éventail des méthodes de production est extrêmement varié. Alors que près de 10 % des plus gros producteurs, qui possèdent des milliers de vaches, représentent plus de 60 % de la production de lait du pays, près de 80 % des éleveurs laitiers sont de petits exploitants qui ont moins de 30 vaches.

L'agriculture familiale joue un rôle crucial dans le paysage agricole brésilien. En particulier, les petits producteurs, qui produisent moins de 50 litres par jour, connaissent des difficultés croissantes dues à la hausse des coûts de production et de l'alimentation, au coût de la main d'œuvre ou encore à l'ampleur de la charge de travail manuelle.

Michele avait l'impression qu'ils ne vivaient que pour leurs vaches. Ils n'avaient pratiquement pas de temps pour eux ou pour leurs enfants. Pendant sa brève pause petit-déjeuner dans la matinée, Michele se retrouvait souvent à organiser le reste de sa journée d’éleveuse. L'après-midi il fallait de nouveau traire, nourrir et contrôler avec soin le troupeau. Et après le dîner, Michele et Virlei enchaînaient avec la traite du soir. Le rythme était soutenu, mais malgré tout ils voulaient continuer à s’occuper de leur ferme et de leurs animaux. Tous deux ne rêvaient pas moins d'une vie plus équilibrée où ils auraient plus de temps l'un pour l'autre et plus de moments pour vraiment profiter de leur enfants.

Quand le robot a pris la relève, Michele a recommencé à vivre

Pour Michele et sa famille, l'apport du robot n'a pas de prix. Aujourd'hui, Michele peut profiter des petits plaisirs de la vie comme emmener ses enfants à l'école, déjeuner avec eux le matin et même faire du sport. Le robot lui a rendu sa vie en lui permettant de se concentrer sur sa santé et de passer du temps de qualité avec sa famille. La bonne marche de la ferme permet également à ses enfants d'imaginer leur futur sur l'exploitation et d'envisager de poursuivre la tradition familiale.

« Le robot a tout changé, » dit-elle. « Je suis enfin une maman à part entière. » Je me lève, je prends le petit-déjeuner avec les enfants et je les emmène à l'école. Avant, je passais tout mon temps à traire. Maintenant, je ne coure plus du matin au soir. »

En plus d'améliorer la productivité de la ferme, le GEA DairyRobot R9500 a ramené de l'équilibre et de la joie dans la vie de Michele. Elle ne se sent plus écrasée par le poids de l'astreinte laitière et peut enfin respirer et profiter des fruits de son travail. Investir dans la technologie a changé la donne et s'est soldé pour Michele et sa famille par une meilleure qualité de vie et un futur plus radieux.